mardi 2 novembre 2010


Contes traditionnels :


Les Mille et une nuits

-Ali Baba et les quarante voleurs

-Aladdin ou la lampe merveilleuse

-Sindbâd le marin »


Perrault

Barbe-Bleue

La Belle au bois dormant

Cendrillon

Le chat botté

Les fées

Peau d’âne

Le Petit Poucet

Le Petit Chaperon rouge

Riquet à la houppe

Jeanne-Marie Leprince de Beaumont

La Belle et la bête


Jacob et Wilhem Grimm

Hansel et Gretel

Les musiciens de Brême

Le Pêcheur et sa femme

La Belle au bois-dormant

Blanche-Neige

Cendrillon

Le Petit Ane

Le vaillant petit tailleur

La Petit Chaperon Rouge

La vraie fiancée

Les sept frères corbeaux

L’eau de vie

Le joueur de flute de Hamelin


Christian Andersen

Le Rossignol

La bergère et le ramoneur

Le Petit Soldat de plomb

La Petite Sirène

La Petite Fille aux allumettes

La Princesse au petit pois

Le vilain Petit Canard

La Reine des neiges

Les Habits neufs de l’empereur


Contes et fables d’Afrique

Ashley Bryan

Edition Castor Poche


Contes plus récents :


- Kipling, Histoires comme ça

- Marcel Aymé, les Contes bleus du chat perché


- Yak Rivais, Les enfantasques

- Pierre Gripari, La sorcière de la rue Mouffetard


vendredi 15 octobre 2010

A qui la faute?

A qui la faute?


Tu viens d'incendier la Bibliothèque ?

- Oui.

J'ai mis le feu là.

- Mais c'est un crime inouï !
Crime commis par toi contre toi-même, infâme !
Mais tu viens de tuer le rayon de ton âme !
C'est ton propre flambeau que tu viens de souffler !
Ce que ta rage impie et folle ose brûler,
C'est ton bien, ton trésor, ta dot1, ton héritage
Le livre, hostile au maître, est à ton avantage.
Le livre a toujours pris fait et cause pour toi.
Une bibliothèque est un acte de foi
Des générations ténébreuses encore
Qui rendent dans la nuit témoignage à l'aurore.
Quoi! dans ce vénérable amas des vérités,
Dans ces chefs-d'œuvre pleins de foudre et de clartés,
Dans ce tombeau des temps devenu répertoire,
Dans les siècles, dans l'homme antique, dans l'histoire,
Dans le passé, leçon qu'épelle l'avenir,
Dans ce qui commença pour ne jamais finir,
Dans les poètes! quoi, dans ce gouffre des bibles,
Dans le divin monceau des Eschyles2 terribles,
Des Homères, des Jobs3, debout sur l'horizon,
Dans Molière, Voltaire et Kant4, dans la raison,
Tu jettes, misérable, une torche enflammée !
De tout l'esprit humain tu fais de la fumée !
As-tu donc oublié que ton libérateur,
C'est le livre ? Le livre est là sur la hauteur;
Il luit; parce qu'il brille et qu'il les illumine,
Il détruit l'échafaud, la guerre, la famine
Il parle, plus d'esclave et plus de paria.
Ouvre un livre. Platon5, Milton6, Beccaria7.
Lis ces prophètes, Dante8, ou Shakespeare, ou Corneille
L'âme immense qu'ils ont en eux, en toi s'éveille ;
Ébloui, tu te sens le même homme qu'eux tous ;
Tu deviens en lisant grave, pensif et doux ;
Tu sens dans ton esprit tous ces grands hommes croître,
Ils t'enseignent ainsi que l'aube éclaire un cloître9
À mesure qu'il plonge en ton cœur plus avant,
Leur chaud rayon t'apaise et te fait plus vivant ;[…]
[Le livre] est ton médecin, ton guide, ton gardien.
Ta haine, il la guérit ; ta démence, il te l'ôte.
Voilà ce que tu perds, hélas, et par ta faute !
Le livre est ta richesse à toi ! C'est le savoir,

Le droit, la vérité, la vertu, le devoir,
Le progrès, la raison dissipant tout délire.
Et tu détruis cela, toi !

- Je ne sais pas lire. Victor Hugo, « A qui la faute? », L’année terrible, 1872


1 Le bien (argent, terre…) qu’apporte une femme en mariage

2 Dramaturge grec de l’antiquité

3 Personnage de l’Ancien Testament. C’est un Juste dont la foi est mise à l’épreuve par le diable.

4 Philosophe allemand du XVIIIe siècle

5 Philosophe de la Grèce antique

6 Poète anglais du XVIIe siècle

7 Philosophe italien des Lumières

8 Le plus grand poète italien auteur de La Divine Comédie

9 Cour entourée de galeries à côté d’une église


Plan de sauvetage en orthographe

Plan de sauvetage en orthographe

A. De bonnes habitudes

1. Essayez d’écrire correctement dès la première fois. Faites attention même lorsque vous prenez en note le cours, et cela dans toutes les matières.

2. Pensez toujours que tous les mots sont en rapport les uns avec les autres : gardez à l’esprit la phrase dans son entier.

3. Quand vous avez des doutes prenez l’habitude de vérifier : dictionnaire, question au professeur.

4. Entraînez-vous. Voici quelques exercices pour progresser :

Tous les jours : - recopiez des textes sans faire d’erreurs : 5 lignes par jour

- écrivez des phrases inventées : 2 ou 3 par jour

Occasionnellement : - demandez à vos parents de vous faire des dictées courtes

- faites la dictée à d’autres (camarades, vos petits frères et sœurs)

5. Prenez PATIENCE : il est normal que vous n’ayez pas tout de suite 20 en dictée ! Cela viendra.

B. Connaître ses faiblesses

1. Récupérez au moins 5 ou 6 anciennes rédactions ou dictées corrigées par un professeur.

2. Distinguez les erreurs grammaticales (accords, conjugaison et homonymes) des erreurs lexicales (les mots « mal écrits »). Alors que pour l’orthographe lexicale il suffit d’apprendre le mot par cœur, les erreurs grammaticales correspondent à des règles que vous apprendrez à maîtriser en vous entrainant.


En grammaire :

3. Sélectionnez vos 5 erreurs les plus fréquentes

4. Remplissez au moins 5 lignes sur le recto de la « fiche de progression en orthographe » avec ces 5 erreurs, dans la colonne « personnel ».

5. Au dos, en dessous du tableau, notez les règles qui correspondent à ces 5 erreurs et les « trucs » qui vous permettent d’éviter ces erreurs.

6. Ayez toujours cette fiche lorsque vous écrivez et vérifiez chacun des 5 points.

7. A chaque nouvelle dictée/rédaction : vérifiez que vous n’avez pas fait d’erreurs sur ces points. Si oui, vérifiez que vous auriez pu les corriger avec votre méthode.

8. A chaque nouvelle dictée/rédaction, refaites les mêmes étapes avec 1 nouvelle erreur que vous n’aviez pas encore notée.


En orthographe lexicale

(les mots « mal écrits ») :

3. Relevez les 10 mots fréquents que vous écrivez mal (ne relevez pas des mots rares mais les mots que vous utilisez souvent).

4. Notez les sur une feuille à part, nommée « fiche d’ortho lexicale », que vous glisserez dans la même pochette que la « fiche de progression en orthographe».

5. Facultatif : écrivez les moyens mnémotechniques qui vous permettront de retenir ces mots.

6. En rédaction, essayez d’abord d’écrire les mots sans la fiche, puis vérifiez (vous ne pouvez pas vous servir de cette fiche en dictée).

7. A chaque nouvelle dictée/rédaction, ajoutez un ou deux mots

aide à la lecture de nouvelles


Aide à la lecture de nouvelles :

1. Comment l’histoire est-elle racontée ?

- Narration à la première personne (JE) ou à la troisième personne (IL/ELLE) ?

- Si la narrateur dit « je », qui est-il dans l’histoire (en général il est le personnage principal mais pas toujours) ?

- L’histoire est racontée au présent ou au passé ?

2. Les Personnages et les lieux

- Faites une liste de tous les personnages du texte. En face de chaque nom, dites ce que l’on apprend d’eux : leur métier, leur âge, une qualité particulière (mystérieux, bavard, savant, ravissant, etc.)

- Quel est le personnage principal ? (il peut y en avoir plus d’un)

- Quelle relation existe-t-il entre les personnages ? Sont-ils de la même famille, des amis, des voisins ? Se connaissent-ils au début de la nouvelle ? Sont-ils amis, ennemis ? S’aident-ils ou au contraire sont-ils opposés ? etc.

- se passe l’histoire ? Le sait-on précisément ? Quel est le milieu (paysan, ouvrier, aristocrate, mondain, etc.) ? Quelle impression donne ce lieu (plaisant, mystérieux, effrayant, etc.) ?

3. Le Schéma narratif

- Quelle est la situation initiale ?

- Quel est l’élément déclencheur qui fait basculer cette première situation ?

- Quelles sont les péripéties qui font prendre de nouveaux tournants à l’action ?

- Quel est l’élément équilibrant qui établit un nouvel ordre ?

- Quelle est la situation finale ?

4. Thème central et interprétation

- Quels sont les thèmes/ sujets abordés ? L’amour, la mort, la faim, la guerre, la science, la société industrielle, l’art (ici les possibilités sont vraiment très nombreuses), etc…

- Quel est selon vous l’avis de l’auteur sur ce thème ? Ex : l’auteur critique la société contemporaine ou au contraire l’auteur complimente les usages modernes. Le plus souvent l’auteur pose des questions, mais n’apporte pas de réponse claire.

5. Quels sont les points que je n’ai pas compris ?

Il est impossible de n’avoir « rien compris » après la lecture d’un texte. Lorsque l’on a l’impression de ne rien comprendre, il faut :

- Noter ce qui est compris : on a au moins compris qui sont certains personnages, quelques lieux, quelques actions même si on n’a pas compris comment elles s’enchaînent.

- Ensuite faire l’effort de formuler des questions précises pour les points qui restent obscurs (pas de question comme « Qu’est-ce qu’elle fait ? », mais plutôt : « J’ai compris que Bagheera a vécu dans un palais mais je ne comprends pas ce qui lui est arrivé là »)

vendredi 20 août 2010

La règle du participe passé avec avoir selon la logique littéraire


François Cavanna, Mignonne, allons voir si la rose, Livre de Poche
Quand, à l'horizon du cours de français, se lève pour la première fois, nuage lourd de menaces, le participe passé conjugué avec l'auxiliaire « avoir », l’enfant comprend que ses belles années sont à jamais enfuies et que sa vie sera désormais un combat féroce et déloyal des éléments acharnés à sa perte.
L'apparition, dans une phrase que l'on croyait innocente, du perfide par ticipe passé déclenche, chez l'adulte le plus coriace, une épouvante que le fil des ans n'atténuera pas. Et, bien sûr, persuadé d'avance de son indi gnité et de l'inutilité du combat, l'infortuné qu'un implacable destin fit naître sur une terre francophone perd ses moyens et commet la faute. À tous les coups. (...)
Pourtant, s'il est une règle où l'on ne peut guère reprocher à la gram maire de pécher contre la logique et la clarté, c'est bien celle-là. (...) Quoi de plus lumineux ? Prenons un exemple : «J'ai mangé la dinde.» Le com plément d'objet direct «la dinde» est placé après le verbe. Quand nous lisons «J'ai mangé», jusque-là nous ne savons pas ce que ce type a mangé, ni même s'il a l'intention de nous faire part de ce qu'il a mangé. Il a mangé, un point c'est tout! La phrase pourrait s'arrêter là. Donc, nous n'accordons pas «mangé», et avec quoi diable l'accorderions-nous ? Mais voilà ensuite qu'il précise «la dinde». Il a, ce faisant, introduit un complément d'objet direct. Il a mangé QUOI ? La dinde. Nous en sommes bien contents pour lui, mais ce renseignement arrive trop tard. Cette dinde, toute chargée de féminité qu'elle soit, ne peut plus influencer notre verbe «avoir mangé», qui demeure imperturbable. Notre gourmand eût-il dévoré tout un troupeau de dindes qu'il en irait de même : «mangé» resterait stoïquement le verbe «manger» conjugué au passé composé. Maintenant, si ce quidam écrit «La dinde ? Je l'ai mangée» ou «La dinde que j'ai mangée», alors là, il commence par nous présenter cette sacrée dinde. Avant même d'apprendre ce qu'il a bien pu lui faire, à la dinde, nous savons qu'il s'agit d'une dinde. Nous ne pou­vons plus nous dérober. Nous devons accorder,-hé oui. «Mangée» est lié à la dinde (c'est-à-dire à «I'» ou à «que», qui sont les représentants attitrés de la dinde) par-dessus le verbe, par un lien solide qui fait que «mangée» n'est plus seulement un élément du verbe «manger» conjugué au passé composé, mais également une espèce d'attribut de la dinde. Comme si nous disions «La dinde EST mangée».

jeudi 1 juillet 2010

Liste de grands classiques à lire un jour

Grandes œuvres de notre littérature et d’ailleurs En gras, celles que je vous conseille de lire dès maintenant


Théâtre en français

Tragédies :

Baroque (fin XVIème-début XVII) : Corneille : Le Cid (une tragi-comédie)

Classiques (XVII) : Corneille : Horace, Polyeucte

Racine : Bérénice, Britannicus (une tragédie classique par excellence), Phèdre

Romantiques (début XIXème) : Musset : Lorenzaccio

Hugo : Ruy Blas

Modernes (XXème) : Claudel : L’Annonce faite à Marie

Anouilh : Becket ou l’honneur de Dieu

Giraudoux : Electre

Sartre : Huis Clos

Comédies :

Farces : XVII Molière : Les Fourberies de Scapin

XX Jarry : Ubu roi

Comédies classiques :

XVII : de caractère Molière : Le Malade imaginaire, L’Avare, Le Bourgeois gentilhomme, L’Ecole des femmes, Don Juan, Tartuffe

XVIII : d’intrigue Beaumarchais : Le Barbier de Séville (une comédie désopilante, plus basée sur l’intrigue que sur le caractère contrairement à Molière), Le Mariage de Figaro

de moeurs Marivaux : Le Jeu de l’amour et du hasard

Romantique : Musset : On ne badine pas avec l’amour

Modernes non classables (ni des comédies, ni des tragédies)

Bernard-Marie Koltès, Roberto Zucco (histoire d’un criminel dans une langue moderne très belle)

Aimé Césaire, Une Tempête (d’après La Tempête de Shakespeare)

Théâtre de l’absurde Ionesco : Rhinocéros (des hommes se changent soudain en rhinocéros et agissent comme des soldats nazi)

Beckett : En attendant Godot

Romans et récits français

Romans comiques :

XVI : Rabelais : Gargantua (en langue modernisée)

XVIII : Diderot : Jacques le Fataliste (très drôle : il joue avec le lecteur)

Roman d’analyse psychologique :

XVII La Fayette : La Princesse de Clèves (l’histoire d’amour impossible d’une femme mariée)

XVIII Laclos : Les Laisons dangereuses (histoire d’un séducteur pris à son propre piège, roman par lettres)

Prévost : Manon Lescaut (amour douloureux pour une femme infidèle)

Rousseau : La Nouvelle Héloïse (roman par lettres d’un amour impossible)

Romantiques :

Chateaubriand : Attala (un amour romanesque dans des exotiques Amériques)

Hugo : Les Misérables (œuvre de génie : il existe des versions abrégées pour ne pas vous décourager)

Dumas : Les Trois mousquetaires

Réalistes :

Balzac : La Peau de Chagrin (fantastique) ; Le Père Goriot (vous serez captivés par tous ses personnages)

Stendhal : Le Rouge et le Noir (un jeune homme qui veut gravir les échelons de la société et qui rencontre l’amour)

Flaubert : L’Education sentimentale (un roman d’apprentissage par excellence) ; Madame Bovary

Maupassant : Une Vie ou ses nouvelles

Naturalistes :

Zola : Germinal (œuvre sombre sur les mines), Au Bonheur des dames (histoire d’amour qui se passe dans un des premiers « grands magasins »)

Modernes :

Proust : Du côté de chez Swan (lisez la première partie ou la seconde : vous verrez que ce n’est pas si difficile et souvent drôle)

Gide : Les Faux-Monnayeurs

Bernanos : Sous le soleil de Satan (un prêtre essaie de sauver une jeune fille)

Louis-Ferdinand Céline : Le Voyage au bout de la nuit (très dur, très noir)

Giono : Un Roi sans divertissement (enquête policière dans une campagne enneigée)

Camus : L’Etranger (très court : permet de comprendre la spécificité du caractère du héros moderne) ; La Peste

Vian : L’Ecume des jours (récit poétique et symbolique)

Cohen : Belle du Seigneur (une grande histoire d’amour pendant la montée des fascismes)

Yourcenar : Les Mémoires d’Hadrien (le faux journal de l’empereur romain amoureux du très bel Antinoüs)

Gracq : Le Rivage des Syrtes

La poésie en français

Renaissance :

Anthologie de la poésie du XVI : Du Bellay, Ronsard, Marot, Labé…

Romantique :

Hugo : La Légendes des siècles ; Les Contemplations ; Les Feuilles d’Automne

Musset, Les Nuits

Larmartine, Méditations poétiques

Classés (malgré eux) parmi les symbolistes

Baudelaire : Les Fleurs du mal

Verlaine : Les Romances sans Paroles (pour la musicalité)

Rimbaud : Poèmes, Les Illuminations (début de la poésie moderne)

Mallarmé, Poésies

Modernes :

Apollinaire : Alcool

Aragon Les Yeux d’Elsa (poèmes d’amour écrits pendant la 2nd guerre)

Ponge : Le Parti pris des choses (poésie des objets quotidiens)

Cendrars : La Prose du Transsibérien (poésie en prose d’un voyageur)

Michaux : Voyage en grande Garabagne (poésie en prose d’un voyage dans des pays imaginaires aux noms bizarres)

Récits poétiques : Nerval, Sylvie (magnifique rêverie amoureuse)

André Breton : Nadja (un récit surréaliste)

Poètes vivants à découvrir :

Yves Bonnefoy, né en 1912

François Cheng né en 1929 est un poète et calligraphe d’origine chinoise.

Jean-Michel Maulpoix, né en 1952.

Classiques antiques et étrangers :

Homère :L’Iliade et l’Odyssée

Sophocle : Œdipe roi ; Antigone ; Electre (théâtre)

Euripide : Médée (théâtre)

Ovide : Les Métamorphoses (extraits)

Virgile : L’Eneide (épopée)

Shakespeare: (tragédie et histoire) Hamlet (sans doute la plus belle et insaisissable tragédie qui mêle tous les genres) ; Othello ; Macbeth ; Richard III ; (comédies) Le Songe d’une nuit d’été, Beaucoup de bruit pour rien

Cervantès : Don Quichotte (extraits)

Calderón : La Vie est un songe (théâtre)

Pétrarque (poésie) : le Canzoniere (recueil de sonnets)

Swift : Les Voyages de Gulliver

Goethe : Faust (l’œuvre que nous avons vue au théâtre)

Austen : Orgueil et Préjugés ; Raison et Sentiment

Brontë : Jane Eyre (Aus et B: de beaux romans d’amour adaptés au cinéma)

Shelley : Frankenstein

Melville : Moby Dick

Dickens : Oliver Twist (un enfant pauvre dans l’Angleterre du XIXe)

Dostoïevski : Crime et Châtiment

Twain : Huckleberry Finn ; Tom Sawyer (romans d’aventures)

Tolstoï : Anna Karénine

Stocker : Dracula

Kafka : La métamorphose

Virginia Woolf : Orlando (un homme qui devient femme, écriture moderne : au fil des pensées des personnages)

George Orwell : 1984 (du même auteur que La Ferme des animaux)

Ernest Hemingway : Le vieil homme et la mer

Primo Levi : Si c’est un homme (autobiographie qui retrace la vie dans les camps de concentration)

William Goldring : Sa majesté des mouches (des enfants livrés à eux-mêmes sur une île)

Günter Grass : Le Tambour (un enfant qui ne veut pas grandir dans l’Allemagne nazie)